Archives de Tag: Jules Monnerot

Mon plan de bataille : Changer le monde pour un Développement Durable grâce à l’Humanité

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Vaste programme me diriez-vous ! Et vous avez bien raison. Seulement voilà.

Tout n’est que polémiques en cette période de campagnes électorales en France: il n’y en a pas un pour repêcher l’autre…C’est mon opinion. Je ne vois aucun programme réel, tout n’est que campagne de diabolisation de l’un contre l’autre. Alors j’ai décidé de «parler» de l’approche systémique du changement  sur le plan de l’Humanité puisque j’en fais partie :
«La notion de système apparaît ainsi sous ses deux aspects complémentaires : permettre l’organisation des connaissances et rendre l’action plus efficace» Joel de Rosnay
«Chacun de nous est l’Humanité» Nicanor Perlas
«Il devient urgent de nous métamorphoser sous peine d’imploser !!» Amin Maalouf
“L’avenir de l’humanité reste indéterminé, parce qu’il dépend d’elle.” Henri Bergson
“Et Bergson, en nous mettant, nous, humanité, en présence d’un choix, a très bien vu que le dernier mot était à la liberté.” Jules Monnerot

Moi pas bouger d’Internet pour changer le monde #Liberté

Pour les nouveaux lecteurs (merci à vous !), je remets ici quelques extraits de ma page A propos de ce blog  qui «donnent» les autres raisons pour lesquelles je ne bougerai pas d’Internet, mise à part celle de trouver un monde meilleur…
Et celui-ci existe, j’en suis sûre…et je ne suis ni aveugle ni philosophe de bistrot.
Je sais qu’à moi toute seule, je ne pourrai résoudre tous les problèmes de cette Terre, ce n’est pas mon but de toute façon. Ce n’est pas parce que je ne peux pas apporter de solutions que je vais me taire. Je voudrais juste que nous réfléchissions en l’occurrence à cette République des consciences  que prône Pierre Rabhi dans sa campagne «Tous Candidats en 2012»

J’avais reçu la belle citation ci-dessous il y a fort longtemps
Don’t walk in front of me, I may not follow
Don’t walk behind me, I may not lead
Just walk beside me and be my friend.

Et un commentateur du présent blog m’a envoyé ceci : Du danger du ”Just walk beside me” ! 
Il était une fois quatre individus qu’on appelait ”Tout le monde” – ”Quelqu’un” -”Chacun” – et ”Personne”.
Il y avait un important travail à faire. Et on a demandé à ”Tout le monde” de le faire. ”Tout le monde” était persuadé que ”Quelqu’un” le ferait. ”Chacun” pouvait l’avoir fait, mais en réalité ”Personne” ne le fit.
“Quelqu’un” se fâcha car c’était le travail de ”Tout le monde”. ”Tout le monde”pensa que ”Chacun” pouvait le faire. Et ”Personne” ne doutait que ”Quelqu’un” le ferait.
En fin de compte, ”Tout le monde” fit des reproches à ”Chacun”, parce que”Personne” n’avait fait ce que ”Quelqu’un” aurait pu faire.
MORALITÉ :
Sans vouloir le reprocher à “Tout le monde”, il serait bon que “Chacun” fasse ce qu’il doit faire sans nourrir l’espoir que “Quelqu’un” le ferait à sa place. Car l’expérience montre que là où on attend “Quelqu’un”, généralement on ne trouve “Personne” !
Transfères cette histoire à “tout le monde” afin que “chacun” puisse l’envoyer à “quelqu’un” d’autre sans oublier “personne”.

Tout ceci pourquoi ? Parce que LA POLITIQUE n’est pas un métier ni une tâche à remplir par des professionnels MAIS UN EFFORT QUOTIDIEN PAR TOUS ET POUR TOUS.
«S’opposer n’est autre que proposer. Une opposition sans proposition n’est qu’un mouvement d’humeur.» [Robert Sabatier]

Et enfin, voici un commentaire à propos de Mon samedi de réflexion : Invitez «l’Autre» à déjeuner dit Elizabeth Lesser #TEDWomen #Rumi
Très très bonne idée. Et bon post. Merci PZ. Comme le disait si justement Amadou Hampathé Bâ (vulgarisateur de la célèbre formule «un vieillard qui meurt, c’est une bibliothèque qui brûle» : Entre ta vérité et ma vérité, il y a la Vérité.
On le dit, j’y crois, l’ostracisme est d’abord et avant tout un manque de confiance en soi. Et pourtant, je peux changer en échangeant avec l’autre sans me perdre ni me dénaturer. Il n’y a rien dans cette course de la vie qui ne soit si irréconciliable, si inconciliable. Rien sauf la méfiance et les préjugés que l’on projette comme boucliers !
Quelques bons mots sur le sujet (désolé, je ne me rappelle plus des auteurs) :
«Toujours se poser pour n’avoir ni à s’imposer ni à s’opposer».
«Tout être humain m’est supérieur en quelque manière et je peux m’instruire à son contact»
«Tout être humain, mal informé, ne peut s’abstenir de mal raisonner.»
Et comment disait l’autre. «La chose est irréalisable ? Soit ! Nous n’avons donc plus qu’un choix : commencer à la réaliser»

Ma table est bien entendu ouverte. Pour tout le monde. Surtout l’Autre, l’étranger, mon ami !
Bonnes discussions tout le monde.

Changer le monde, c’est possible : L’effet papillon de la Mondialisation «positive»

La triarticulation sociale
Mises à part la culture et l’économie, il reste les questions démocratiques, où l’opinion de chacun de nous à le même poids que celle de l’autre
. C’est le cas en particulier de la sécurité des travailleurs et consommateurs, ainsi que d’autres questions ayant trait à la sécurité. Le principe de la majorité a cependant ses limites. Ne pas en tenir compte incite soit à totaliser l’Etat, soit à le manipuler au profit d’intérêts économiques ou culturels. Ce refus d’une triarticulation sociale est à l’origine des dernières guerres.

Oser le monde tel qu’il est, c’est ici  et   #LoveMyLondon

Changer le monde à ma façon si vous me le demandiez, c’est ici

Changer le monde en Afrique
Remarques : ci-dessous quelques articles que j’ai relevés parmi tant d’autres alors qu’ils sont tous intéressants…Ndubuisi Ekekwe confirme ce dont j’ai déjà “parlé” dans ce billet : “Africa is open for business”, voilà c’est dit !…en anglais et ce que dit The Gamelian World sur son blog  peut faire partie de ma page Défis Afrique.

Afrique : Tisser le futur de l’Afrique à travers les innovations sociales via Global Voices
#Afrique : Tisser le #futur de l’Afrique à travers les #innovations #sociales #LeMondedeGamel http://fr.globalvoicesonline.org/2012/02/20/98706/ via @GlobalVoicesFr
[…] Tech in Education est un rassemblement pour réunir des idées, de personnes et des outils numériques pendant 48 heures afin de créer de nouvelles solutions mobiles et en ligne pour améliorer l’apprentissage  des élèves des écoles primaires et secondaires au Nigeria.”

“Africa Is Open for Business” [confirme] Ndubuisi Ekekwe – Harvard Business Review
Ndubuisi Ekekwe is a founder of the non-profit African Institution of Technology. He recently edited Nanotechnology and Microelectronics: Global Diffusion, Economics, and Policy.
[…] But, Africa is not an isolated island in the world, and ongoing uncertainty with some of its trading partners could imperil any sustainable progress. A trade shock is just around the corner, as the continent remains reliant on a mineral-based economy. And new, rosy economic statistics have not managed to stop strikes, riots, and other protests, which are the result of the continued reality of economic inequality. What’s more, Africa is complex, fragmented and multicultural. What works in Nigeria is not guaranteed to work in Kenya.
But, none of this should keep businesses from expanding into African markets. The international community should not ignore a growing market of roughly a billion people. Africa needs about $50 billion to meet its development goals over the next few years, and it needs the help of the international community to tackle the vicious cycle of poverty, disease and hunger in Africa today.
African economies are growing, and millions have moved into the middle class category within the last decade. And Africans are buying things, from iPads to Porsches. Africans are also becoming global players, with some of their banks — such as United Bank for Africa and Guaranty Trust Bank — opening offices in the U.S., France and the U.K. Investments in the continent will grow, and the following areas remain the most promising : […]

Changer le monde ici, ailleurs et là-bas.
Les articles relevés ici ont été extraits de la série (en anglais) The Next Generation of Global Leaders  dans Harvard Business Review. A propos des articles en anglais, j’aimerais vous confesser ceci : ne croyez pas que je suis une parfaite bilingue Français-Anglais. Je ne suis pas une traductrice professionnelle et j’utilise Google Translate pour m’aider à «mieux» comprendre ce qui se dit en anglais. Quand je suis in the mood, je traduis sinon je les livre tels quels comme je le fais aujourd’hui.

Multicultural Leadership Starts From Within by Jevan Soo
Internal programs that develop talent are the first step to global success.
Jevan Soo is a management and human capital consultant in Boston. He formerly managed McKinsey & Company’s Asia-Pacific recruiting across twelve countries. Follow him on Twitter @jevansoo.
The world is getting smaller. As new technologies in social media, transportation, and telecommunications bring us closer together, it’s more critical than ever for organizations to recruit, develop, and retain multicultural leaders who can skillfully navigate both the opportunities and challenges of a more connected world.
Multicultural leadership involves deep immersion within different cultures to understand their values and specific context. This immersion unlocks insight into how to best reach customers, inspire employees, and drive organizational performance in geographies outside one’s « home base. » Only through knowing other cultures deeply can a manager effectively connect the dots between them and highlight meaningful differences between cultures that impact business strategy.
[…]

So what can managers do to contribute their part?

  1. Focus recruiting efforts to bring diverse, multicultural candidates into the company. This might include adjusting employer branding messages, diversifying recruiting talent sources, or even adjusting selection criteria to reward multicultural experience and leadership capability. It may also entail hiring experts such as cultural anthropologists who can support a more targeted exploration of a specific culture.
  2. Make multicultural experiences an explicit part of career path conversations and performance reviews so that young managers can begin to treat view multicultural skill development more seriously.
  3. Build multicultural elements into management training programs, either by adjusting existing curricula or developing new materials.
  4. Launch structured mobility programs that bring rising managers to different cultures and geographies on both short-term projects and medium-term rotations. This will ensure that multicultural leadership development is embedded throughout an organization’s talent management processes.
  5. Integrate multicultural insights into business decisions and strategy. After all, the above interventions mean little if managers do not actively harness the insights that only multicultural leaders can bring to the table.

In an increasingly global age, the capacity of organizations to build multicultural and transnational leaders will be a critical competitive advantage. Is your organization prepared?

East Meets West: Who Has Better Leaders? by Scott Edinger
Scott Edinger is the founder of Edinger Consulting Group. He is a coauthor of the October 2011 HBR article, « Making Yourself Indispensable.«  Connect with Scott at Twitter.com/ScottKEdinger.
[…] But, then, an entirely different thought came to me. What if I was asking the wrong question? What if the important thing wasn’t which group scored better but the fact that the scores were so close? Granted that Western leadership skills were at one time considered superior, what if that advantage, perceived or real, no longer exists? From atop the Wall, it looked to me like the similarities mattered far more than the differences. In fact, the list of commonalities was long. Here are just a few:
1. The direct reports of both groups felt that the ability to inspire and motivate was a critical attribute of great leaders in general — and something they all wanted from their own.

2. The leadership attribute managers in both groups valued most, though, was the drive for results.
3. Both groups were equally interested in improving their own leadership skills.
5. When it came to developing a strength, the initial reaction from both groups was to do more of the same.
4. Nearly everyone who had done some kind of leadership development in the last two years had been focused on remediation of some weakness area.

Dans son commentaire en réponse à un autre, Scott Edinger dit ceci [Google Translate] Je ne veux pas me lancer dans un débat politique ici, donc je vais simplement faire remarquer qu’il y a un gouffre de différence entre le gouvernement d’un pays et ses citoyens au sens large. Pourtant, il est difficile d’imaginer que je suis vraiment coupable de trahison pour avoir écrit à comparer et contraster mon expérience de travail avec les dirigeants du monde entier.

Retrouvez, en cliquant sur le lien, la série complète à ce jour de The Next Generation of Global Leaders

Pour terminer, lire ce magnifique billet Elle est si belle quand elle est nue chez ma Citoyenne préférée

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Développement Durable et Intégral