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Parler à ma place du Pouvoir au Féminin
Publié : le 19 mars 2010 par prettyzoely dans Education
Mots-clefs :Banque Mondiale, Dr J.E. Kwegyir Aggrey, Education, Madagascar, Marie C. Wilson,Soft Power Network, Syfia Madagascar, The Power of Yin
Comme à mon habitude, je relève sur mon blog des articles qui me « parlent » à moi…Et c’est toujours long quand on parle à ma place, je préfère vous prévenir…J’essaie quand même maintenant de ne mettre que les extraits qui m’intéressent alors désolée d’avance pour ceux-celles qui auraient voulu lire directement ici l’intégralité de ces articles… […]
Et d’avance, désolée car les articles lus sur ipsnews.net et dont je « parle » ci-dessous sont en anglais…
Women Form Own Political Parties for Fair Representation
By Lova Rabary-Rakotondravony
ANTANANARIVO, Jul 29 , 2010 (IPS) – Brigitte Rasamoelina and Yvette Sylla are women with two different approaches to politics in Madagascar. One formed a political party, while the other decided to legalise her organisation as an association. But both women are considering running in Madagascar’s November elections.
But they know that it will not be an easy road. « We’ll have to be assertive and prove ourselves, » they each confided separately to IPS.
« There are very few women in decision-making bodies » in the Indian Ocean’s big island, said Sylla. « Men are not ready to share power, » adds Rasamoelina.
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Calls for Equality to be Written into New Constitution
By Laure Pichegru
JOHANNESBURG, Jul 2, 2010 (IPS) – Madagascan female activists are asking that the right of women to participate directly in politics be included in a new draft of the country’s Constitution, so that there can be 30 percent of female politicians in parliament by 2012 and 50 percent by 2015.
Women’s rights organization Vondrona Miralenta ho an’ny Fampandrosoana (VMLF-‘group of women in politics’), say this constitutional requirement is needed to change the disproportion number of men and women represented in economics and politics. According to a study conducted by the Electoral Institute for the Sustainability of Democracy in Africa in 2009, there are less than eight percent of Madagascan women in political decision-making bodies.
VMLF says it is necessary to clarify laws and legal texts such as the Constitution, the Electoral Code and even laws governing political parties to establish real equity between men and women.
« Without coercive action, there will be no change. For instance, no political party will present women on its list. Maybe there will be one or two women, but they will never be on the top of the list, » Noroarisoa Ravaozanany, a member of VMLF, told IPS.
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ZAMBIE : Appels aux partis politiques pour 50 pour cent de femmes candidates aux élections
Kelvin Kachingwe
LUSAKA, 28 juil (IPS) – Les femmes ont peu réussi en termes de représentation dans les postes de prise de décision en Zambie et un groupe de pression national de femmes espère changer cette situation aux élections générales de 2011.
Le processus électoral zambien a peut-être introduit des obstacles empêchant la participation significative des femmes en tant que candidates, mais le Groupe national de pression des femmes de la Zambie (ZNWL) veut changer cela à travers une campagne baptisée « 50 pour cent de femmes et 50 pour cent d’hommes dans le leadership pour le développement équitable ».
Le groupe de pression espère obliger les parties politiques à désigner 50 pour cent de femmes comme candidates aux élections parlementaires et locales de 2011.
Le pays occupe l’avant pénultième rang parmi les 14 pays membres de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) en termes de représentation des femmes avec seulement 14 pour cent ou 22 femmes parmi les 150 membres du parlement. Au niveau de la gouvernance locale, les femmes conseillères font un pourcentage dérisoire de sept pour cent.
La Zambie n’a pas atteint l’objectif de la déclaration de la SADC sur le genre d’obtenir 30 pour cent de représentation féminine au parlement au plus tard en 2005. Il reste à savoir si le protocole de la SADC sur le genre et le développement qui engage les pays à travailler dans le but d’obtenir 50 pour cent de femmes au niveau des postes politiques et de prise de décision d’ici à 2015 sera atteint, puisqu’il n’y a actuellement aucune loi qui oblige les parties à le faire.