Archives du 18 août 2010

Si vous doutez encore qu’il n’y a pas d’alternatives, Jacqueline Novogratz vous prouve le contraire. I’m a huge fan

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Au hasard de mes «retwittering», je redécouvre le site de Jacqueline Novogratz et je tombe sur la présentation (en anglais) de son livre The Blue Sweater. “Bridging the gap between the rich and poor in interconnected world” by J. Novogratz
[…] She shows, in ways both hilarious and heartbreaking, how traditional charity often fails, but how a new form of philanthropic investing called « patient capital » can help make people self-sufficient and change millions of lives. More than just an auto-biography or a how-to guide to tackling poverty, this book challenges us to grant dignity to the poor and to rethink our engagement with the world.

Announcing The Blue Sweater Book Giveaway Competition!
August 16th, 2010 by Wei Wei Hsing

Tout ce que je trouve sur Jacqueline Novogratz est en anglais et cela m’embête de traduire car je risque de perdre le vrai sens des mots…
Personne n’est parfait 😉 En gros, comment une nouvelle forme de placement philanthropique appelé « le capital patient » peut aider à rendre les gens autosuffisants et ainsi changer des millions de vies. Plus qu’une autobiographie, ce livre nous défie à respecter la dignité des gens pauvres et à repenser notre engagement avec le monde. Et c’est «raconté» à la fois de façon hilarante et déchirante…
Pour en savoir plus et ce qu’en disent des gens, entre autres «mon ami» Seth Godin, visitez le site http://www.thebluesweater.com (en anglais)

Acumen Fund «Patient Capital» (en anglais) : Une nouvelle façon d’aborder la pauvreté
Forte de son expérience passée dans le secteur bancaire, la microfinance et la philanthropie traditionnelle, Jacqueline Novogratz (fondatrice d’Acumenfund.org) est devenue un partenaire principal dans le financement  des entreprises (locales) qui peuvent rendre l’eau potable abordable, qui peuvent apporter des services médicaux, qui peuvent résoudre les problèmes d’hébergement, etc… afin que plus de 2/3 de la population mondiale vivant dans la pauvreté, puissent ne plus dépendre des résultats décevants ni du manque de responsabilité des œuvres de bienfaisance et de l’aide traditionnelles. Le «Patient capital» est une troisième voie qui cherche à combler le fossé entre l’efficacité et l’échelle d’approches de l’économie de marché et l’impact social de philanthropie pure.

Elle s’occupe donc de trouver les fonds auprès d’investisseurs (Acumen Fund gère plus de 20 millions de $) reflétant les «bons» modèles économiques dans l’atteinte des objectifs cités ci-dessus. Et surtout, elle met l’accent sur des solutions venant de l’intérieur même des communautés plutôt que les imposer de l’extérieur. « Les gens ne veulent pas d’aumône», a dit J. Novogratz en 2005 au TEDGLOBAL. « Ils veulent prendre leurs propres décisions, résoudre leurs propres problèmes. » […]

Pour rappel, voici mes billets qui «parlent» de Jacqueline Novogratz

L’aide au développement mène à la dépendance et/ou à la corruption, surtout en cas de crise et il existe d’autres alternatives
Economie sociale Jacqueline Novogratz on escaping poverty – TED Talks 2009
La vidéo est en anglais mais il est possible d’avoir les sous-titres en français

Ou comment je suis partie du mot «linchpin» à «esse de boucher» puis finalement au mot «indispensable»
[…] Sauf que Seth Godin a parlé de Jacqueline Novogratz comme étant une personne indispensable et je suis bien contente car je l’ai «dit» aussi !!! Retrouvez ce post ici