La lente et fragile construction de la démocratie au Nigeria

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J’espère SINCEREMENT que cela ne tournera pas en queue de poisson comme à Madagascar. Go ! Go ! Nigeria ! Just engage, says «STEVE»

Nigeria : Réflexions sur 50 ans d’indépendance (GlobalVoices en français)
par Eremipagamo Amabebe·Traduit par Suzanne Lehn Traduction publiée le 4 Octobre 2010
[…] Joseph Ekwu reconnaît les nombreuses défaillances du pays, mais a choisi de se concentrer sur le positif, en mettant l’accent sur les succès de Nollywood, les accomplissements des Nigérians de la diaspora, et le déploiement de la technologie GSM […]

Un colosse aux pieds d’argile (jeuneafrique.com)
01/10/2010 à 17h:48 Par Marianne Meunier
Elle est loin l’unité dont rêvaient, en octobre 1960, les pères de l’indépendance. En cinquante ans, le pays le plus peuplé – et l’un des plus riches – du continent a connu plus de coups d’État qu’aucun de ses voisins. Au point que le putsch a paru devenir, jusqu’à la fin des années 1990, l’unique mode de transmission du pouvoir. Rongé par la corruption, les rivalités ethniques et les antagonismes religieux, le Nigeria s’essaie aujourd’hui à la démocratie. Avec un succès tout relatif […]

Nigeria : le pétrole coule à flots, mais la misère persiste (GlobalVoices en français)
Traduction publiée le 15 Septembre 2010 · par Juhie Bhatia · Traduit par Abdoulaye Bah
[…] Une analyse de Peter Osadalor parue dans le journal nigérian Vanguard affirme que la Banque mondiale a  inventé l’expression “le paradoxe nigérian” pour décrire spécifiquement l’extrême sous-développement et la pauvreté dans un pays qui déborde de richesses naturelles et de potentiel. Les blogueurs ont proposé plusieurs solutions à ce paradoxe : depuis imposer aux compagnies pétrolières une règlementation plus stricte à une amélioration de la formation des dirigeants et à une diminution du recours aux produits alimentaires importés. Hecht soutient dans sa série d’articles que même si le Nigeria faisait face à la menace de graves pénuries alimentaires, le pays avait suffisamment de terres fertiles pour pouvoir se nourrir seul et nourrir une bonne partie de la région si les revenus pétroliers étaient plus sagement investis. Afolabi Taiwo Okunola a abouti à la même conclusion dans un billet soumis lors d’un concours d’écriture sur le blog de la fondation Youngstars, en disant que s’occuper en priorité de l’agriculture était la solution […]

Infoguerre – Shell Nigeria sous kevlar onusien (gwethguy.worpress.com)
[…]
Le delta de toutes les convoitises
Fort de 32 millions d’habitants en 2010, le delta du Niger qui s’étale sur une superficie de 70 000 km² représente l’un des dix principaux écosystèmes marins de zone côtière humide au monde. A lui seul, il représente 75% des ressources pétrolières du Nigeria et 8,5% du total des importations américaines. Depuis 50 ans, l’or noir y a généré près de 700 millions de dollars, attisant toutes les convoitises. Devant ce tableau, il est important de rappeler aux jeunes générations que le Biafra est le lieu de naissance de l’action humanitaire telle qu’on la connaît aujourd’hui, que tout a « commencé à la fin des années 60 avec ce qui reste le plus important programme d’urgence après la deuxième guerre mondiale : ‘SOS Biafra’ »[5]. C’est d’ici que partent le sans-frontiérisme[6], l’ingérence humanitaire[7], la militarisation des parties belligérantes[8] par ONG interposées et l’hypermédiatisation[9]des situations d’urgence. Les mille jours[10] de combats qui opposèrent les sécessionnistes biafrais au gouvernement central nigérian firent des centaines de milliers de morts, plus de trois millions de déplacés, et se soldèrent par la signature de nouveaux contrats d’exploitation pétrolière…
Tout bien considéré, la grande leçon du rapport des experts du PNUE, celle qui résistera sans conteste aux critiques, c’est que malgré la réalité du terrain et la légitimité de leur combat, les populations du delta du Niger ont toujours perdu sur le terrain de l’information. Plus que jamais, il va être difficile d’ébranler la caution offerte par les Nations Unies à cette nouvelle manière de raconter l’histoire de la pollution pétrolière au Nigeria.
A moins que…
Guy Gweth.


Allemagne:Uche Akpulu  » the duty of young african is to get active in the process of making a.u achieve its goals « 
(camer.be)
Paru le Mercredi 14-04-2010
Interview réalisée par Lydie Seuleu, Allemagne

Il s’appelle Uche Akpulu, né il y a de cela 43 ans au Nigéria. Actuellement il vit à Muenchen dans la région du Bayern où Uche est co-fondateur du AKPM, membre de Karawane Muenchen et porte-parole du Bayerischer Fluechtlingsrat (Conseil des refugié(e)s du Bayern). Dans cet entretien il nous parle de ce qu’il pense de l’Union Africaine et du cinquantenaire des Indépendances de certaines régions d’Afrique. Le 24 Avril 2010 à Karlsruhe, Uche Akpulu sera présent à la table ronde autour des  thèmes : « L´image d´Afrique dans les Media Européens, est elle changeable si l´Afrique ne change pas? » et « La Déclaration de la conférence Panafricaniste de Munich: les stratégies à adopter pour sa concrétisation ».
Good morning sir, can you please introduce yourself to our readers ?
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Local Content Development, Nigeria – API
Oct 13, 2006 In 1999, Chevron Nigeria Limited (CNL) and the Nigerian National Petroleum Corporation (NNPC) established the Local Business
http://www.api.org